J’ai été formé au CGP® en 2005. A cette époque, ma problématique de dirigeant d’une entreprise de 400 collaborateurs, soucieux de la personne, était de mieux connaitre et appréhender les différents profils de personnes qui existent dans une entreprise. Le commercial n’a pas le même profil que le comptable et ceux-ci bien souvent ne se comprennent pas alors qu’ils remplissent tous deux des fonctions importantes dans l’entreprise. Il en est souvent de même entre les personnes des bureaux d’études et le personnel de chantier. Il était important pour moi de bénéficier d’un outil permettant de mieux reconnaitre les talents qui caractérises les personnes et de mieux les faire évoluer dans l’entreprise.
Mettre les collaborateurs dans une situation d’exprimer leurs talents naturels est corrélativement une façon d’augmenter leur satisfaction au travail et de développer l’entreprise. A quoi sert de reprocher un manque de développement commercial à une personne douée pour la maintenance de la relation mais pas pour le démarchage ? Reconnaitre plus facilement les talents des personnes est une façon de les conforter dans leurs talents et de les mettre en situation de réussite. Le CGP® est pour cela une véritable aide.
Plusieurs managers de l’entreprise, dont le service RH, ont été formées au CGP® et l’ont utilisé dans de multiples situations : embauches, évolutions de postes, travail en groupe pour le CODIR ou des services. Comprendre et faire comprendre les talents de l’autre est essentiel dans le développement de l’entreprise. Il est toujours utilisé par les personnes qui ont été formées.
Le CGP® est révélateur d’une tendance naturelle dans l’approche de l’autre. Elle offre la possibilité de rendre des gens heureux, d’être confortés, reconnus, poussés dans leurs talents naturels. A des jeunes de mettre des mots et des perspectives pour leurs études ou leurs métiers. A des personnes en échec de revisiter leur parcours en lien avec leurs talents et de rebondir.
Il y aura eu un avant et un après le CGP®, le début d’un parcours et d’une quête de la meilleure compréhension de l’autre.
Pierre TIXIER
Ancien président de l’IV